A NOUS DE JOUER
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Construire un autre monde, une autre société, d'autres modes de vie. Des alternatives au système.
 
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 La mort.

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Le Yéti

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MessageSujet: La mort.   La mort. EmptyDim 1 Avr - 18:20

Vivre c'est mourir. Celui qui accepte la mort vivra vraiment.
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MessageSujet: Re: La mort.   La mort. EmptyDim 1 Avr - 20:45

"Prefiero morir depie que vivir siempre arrodillado"

Viva la Révolucion!!!! cheers


Dernière édition par le Dim 1 Avr - 21:29, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: La mort.   La mort. EmptyDim 1 Avr - 21:09

On passe notre vie à nous préparer à la mort, c'est un peu un comble, mais c'est ainsi que cela se déroule...
que faut il en penser?
Que l'homme est faible et qu'il subit sa vie jusqu'au moment où elle s'arrête???
l'homme ne profite pas assez surement de sa vie, ca, c'est un fait certain...mais que faut il faire?? essayer de controler notre avenir, nos désirs, notre mort????
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Le Yéti

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MessageSujet: Re: La mort.   La mort. EmptyDim 1 Avr - 21:21

LA mort ne se contrôle pas, ni même la vie.

La mort est concu, mais elle est bien dure à comprendre. Car la mort ne se comprend du vivant que de l'extérieur. Cela est une chose, une loi de la nature. Mais si l'on ne cherche plus à comprendre la mort. Si on ne rescent plus la mort comme une léviathan de la vie, terreur impénétrable et inconpréhensible, obscédente et opréssente. Si on prend cette incertitude au sujet de la mort comme une certitude et un fait. Certitude que la mort est inconnue, un fait qui doit arriver à un moment qu'on peut difficilement prévoir. Alors la vie n'est plus peur, n'est plus question. LA vie reste toujours ce temps avant la mort, mais ce temps n'est plus entaché de terreur. La vie si la mort est acceptée est elle meme acceptée. Acceptée la vie ne peut se faire sans accepter la mort. Accepter la mort ne peut se faire qu'en dévalorisant notre vie, en réalisant qu'elle n'a ni raison, ni intérêt ni valeure, ni obligation d'être.

Vivre heureux et prendre la vie di bon côté, c'est accepter la mort. Accepter la mort c'est refuser la valeure de la vie. C'est donc en refusant et en effacant toute valeure et raison à la vie, qu'elle gagne toute sa beauté. Paradoxe qui s'il est établie, rend la vie toute rose. pig Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven
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MessageSujet: Re: La mort.   La mort. EmptyDim 1 Avr - 22:24

je pense que, comme tous ce qui est étranger à l'homme, la mort fait peur... je pense, personnellement, que ce n'est pas sa propre mort le plus dur (sauf bien sur pour les personnes qui souffrent..)mais la mort des gens que l'on aime, meme si cette peine devient surmontable par le temps!!

c'est un sujet bien vague, la mort, car l'idée de mort est spéciale à chaque culture, à chaque religion, à chaque être vivant!!!

Certaine personne tente (et parfois arrive) à contrôler leur mort...il est plus évident de contrôler sa mort que sa vie... personnellement, je pense que controler sa mort, c'est éviter sa vie, éviter ses problèmes!!

Citation :
Vivre heureux et prendre la vie du bon côté, c'est accepter la mort
je suis bien d'accord avec toi Yéti, la vie n'est pas toujours une partie de plaisir, mais chaque moment est important et il faut apprendre à les savourer!!!

comme on dit: Carpe Diem!!! Wink
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MessageSujet: Re: La mort.   La mort. EmptyDim 1 Avr - 23:01

sistatomoe a écrit:
personnellement, je pense que controler sa mort, c'est éviter sa vie, éviter ses problèmes!!

donc la vie est un ensemble de problème ??

je ne suis pas d'accord. La vie n'est ni bonne ni mauvaise chose. Tout dépend comment on les prends. Il n'y a pas de valeure absolue à donner aux composantes de notre vie.

Par ailleurs contrôler sa mort, enfin selon moi, reste plutôt difficile à faire, à pare la méthode du suicide, mais je n'en suis pas adepte. La méditation qui permet de contrôler tout son organisme, jusqu'à avoir le pouvoir de l'entrainer dans la mort me semble nécessité beaucoup de pratique tout de même.

La persption de la mort varie entre les cultures.
Dans la culture occidentale elle est assé tabou. On a même du mal dans notre culture judéo chrétienne a admettre que le problème de la mort n'est pas la sienne mais celle des autres (postulat qui ecarte toute réflection sur l'au delà de la vie...).

C'est la mort qui nous tracasse dans notre société. Aprés des siècles sous l'idéologie chétienne on a du mal a s'en démettre. Vivre pour racheter son salut. Dans beaucoup de culture je crois la vie est percue comme une préparation à la mort. Mais dans l'idéologie judéo chrétienne, on souffre toute notre vie pour racheter sa place dans l'au delà. (concept qui permet la servitude volontaire d'ailleurs).

La mort est notre peure. On lutte pour la résoudre. La religion déiste s'est fondée sur cette peure de la mort. De nos jours la religion Science le fait aussi. La recherche médicale cherche à comprendre la vie, la mort. Mais surtout elle cherche à prolonger la vie, c'est à dire, à combatttre la mort.

vivre c'est mourir.

Combattre la mort n'est pas une solution. Des centaiens de gens se sont fait congeler pour pouvoir bénéficier de l'immortalité plus tard. cette terreur de la mort nous rend fou.

La mort est aussi utilisée comme acte de bravour : héros mort en la bravant. G.Brassens a chanté ce qu'il faut à ce sujet. Mourir mais de mort lente.

Bref, la conception de le mort, il me semble, est à reforger.
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MessageSujet: Re: La mort.   La mort. EmptyDim 1 Avr - 23:17

hep je n'ai pas dit :
Citation :
la vie est un ensemble de problème
les problèmes font partis de la vie au meme titre que les bonnes choses!
je pense que la culture Judéo-chrétienne est "cruelle", elle veut faire culpabiliser les gens jusqu'à leur dernier souffle...je préfère les cultures asiatiques (par exemple) qui voit la vie comme une préparation à la mort, il y a beaucoup plus de logique dans ce sens!!

je ne vois pas ce que tu veux dire par "religion déiste".?. le déisme, c'est la croyance en Dieu (ou en un etre, une chose...) mais sans lui donner de nom, sans suivre un dogme précis... si je comprends bien où tu veux en venir, tu opposes les croyances religieuses aux croyances scientifiques (donc avec des "preuves")...c'est cela?

je ne vois pas la nécéssité de combattre la mort, de combattre une fin ( ou un renouveau selon les croyances)...la logique naturelle veut, que chaque etre humain, chaque plante, naisse et meurt, c'est le rythme de la vie aussi!!!

la peur n'évitera pas la mort, et vice versa, la peur est dans la nature de l'homme, personne n'est revenue de la mort pour donner des explications, et c'est cela qui l'inquiète!!!

il faut vivre, vivre, et profiter de la vie et des gens, c'est la seule solution!! cela ne ralentira pas l'arrivée de la mort certes, mais elle peut adoucir l'idée !
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MessageSujet: Re: La mort.   La mort. EmptyDim 1 Avr - 23:34

J'opposais juste la religion déiste à la religion "Science" en la quelle nous croyons profondément en riant de ceux qui sont soumis à un dieu. Mais la science nous obscurcie le cerveau de la meme manière qeu la religion. Nous croyons qu'elle va nous sauver, qu'elle peut répondre à la question du pourquoi etc...
voila tout.
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MessageSujet: Re: La mort.   La mort. EmptyMar 3 Avr - 22:29

je suis tombée sur ce passage du livre "ce que l'occident ne voit pas de l'occident" de Pierre Legendre (merci au Yéti de m'avoir conseillé ce livre) qui explique bien, je trouve, ce que je pense de la vie, de la mort, du destin...:

Citation :


l'espèce humaine affronte le temps, qui n'est pas seulement temps historique, le temps qui s'écoule, mais le temps du rêve et du mythe. Par la parole et le jeu des images, par la vie de la représentation qui spécifie l'humain, les sociétés affrontent la limite, la finitude, et à travers la finitude, le néant.
elles construisent et mettent en scéne le temps, car pour l'animal parlant, s'approprier la naissance et la mort signifie penser l'origine et le destin, c'est à dire interroger la causalité, la cause de soi et la cause de l'univers
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Huck

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MessageSujet: Re: La mort.   La mort. EmptyMer 4 Avr - 11:53

Salut!

Bien intéressant cet échange de vue sur la mort et la vie.

On pourrait parler de la peur de vieillir, qui taraude nos sociétés occidentales jusqu'au ridicule, et se demander si c'est parce que la vieillesse, dans ce qu'elle a d'inéluctable, nous rappelle que nous nous acheminons vers la mort, et semble nous rappeler avec ironie que même dans nos sociétés qui ont la prétention de contrôler la nature, voire de faire mieux qu'elle et de la remplacer dans ses oeuvres (manipulation du vivant), il y a des choses que nous ne pouvons pas contrôler (c'est rageant ça pour un occidental...).

Ce qui n'empêche pas de faire croire aux gens qu'on peut la contrôler, parce qu'il y a un pognon énorme à se faire sur cette peur et sur la déstabilisation qu'engendre le changement d'aspect physique qui accompagne le vieillissement (je pense que s'il y a bien des gens qui ne croient pas un seul instant à l'efficacité des crèmes anti-rides, ce sont ceux qui les fabriquent et les vendent...).

Quelque chose se joue à la trentaine ou à la quarantaine, quand le corps vient contredire l'impression qu'on avait jusque là que l'enfance, le champ des possibles infinis, durerait éternellement. Il n'est pas anodin que ce type de crise arrive quelques années après être entré dans la vie active.
On avait cru en y entrant que tout resterait possible après, que si ça ne nous plaisait pas, on pourrait CHOISIR autre chose, qu'on resterait des êtres libres et que la vie restait ouverte à 360 °.

Et un beau jour on se rend compte qu'après quelques années de travail, un sillon étroit s'est tracé. Pas sur nos visages, mais dans notre vie. et qu'on est fatigué, et que la où on rêvait de plein de chemins possibles, on ne voit plus que ce sillon là.

Une pause pour faire le point permettrait sans doute de se rendre compte que ce sillon n'est pas une fatalité, et que notre liberté n'a disparu que parce qu'on ne s'en sert pas. Mais justement, le travail, la fatigue, la vie de famille parfois, fait qu'on ne prend pas cette pause salutaire pour faire le point et arrêter la machine à broyer. Ou qu'on remplit les moments de libres de trucs décérébrants, de dérivatifs, parce que c'est angoissant de se rendre compte que notre vie ne nous plait pas.

Pour moi, la mort, c'est ce moment de renoncement-là, où l'on accepte de ne pas être libre. Où on accepte de tirer un trait sur les possibles qui se bousculaient au portillon quand on était enfant, sur ce potentiel énorme qui était le nôtre, non pas par sagesse* mais pour suivre un sillon qui n'est pas nécessairement le nôtre, qui ne nous rend pas heureux, en se disant "bah oui mais j'ai pas le choix, faut bien que je gagne ma VIE".

(*en effet, être sage c'est parfois faire un tri entre tous les possibles rêvés et en accomplir quelques uns, en renonçant par la même à la toute puissance rêvée de l'enfant qui voulait que tout soit possible, en réalisant qu'il y a des choses sur lesquelles on n'a pas prise et qu'il faut renoncer à vouloir les contrôler.)

Les gens développent des stratégies diverses à partir de là : certains, pour compenser la mort de leur liberté, donnent la vie, font un enfant : ça donne du sens à la vie, ça occupe et ça permet aussi de prendre un congé parental (il y a aussi, et heureusement, des gens qui font des enfants pour d'autres raisons!!! Il est à noter que ça donne en général des enfants plus heureux que ceux qui sont nés pour donner du sens à la vie de leur parents...).

D'autres vont s'acharner à essayer d'effacer le sillon... celui qui se dessine sur leur front, ou au coin de leurs yeux, pour prolonger un état de jeunesse associé à l'idée de choix, pour lutter contre la fuite du temps, symbole de leur impuissance, symbole du fait qu'ils n'ont plus prise sur leurs vies d'être humain et de citoyen.

Et ils vont dépenser une énergie folle et désespérée dans une lutte de surface perdue d'avance, parce qu'ils ne trouvent pas de solution ou qu'ils n'ont plus d'énergie pour lutter sur le fond, sur les vrais enjeux de leur vie. En effet, la "vie active" est épuisante, non seulement par la fatigue inhérente au travail et au transport, mais aussi parce que la "vie active" est une vie foncièrement passive, et que la passivité, le fait de subir, ça épuise terriblement.

La mort, c'est aussi quand pour la première fois, on ne participe pas à une grève, alors qu'on avait fait les précédentes, mais qu'on se sent fatigué, et qu'on préfère ce confort étouffant du droit chemin, du droit sillon, au vertige des possibles, à la liberté. Il est à noter que les personnes qui renoncent de la sorte vous disent souvent que c'est "la mort dans l'âme" qu'ils ne font pas grève...

Cette mort là me semble bien plus grave, bien plus effrayante que la mort de nos cellules. Et elle est bien plus sournoise aussi, car elle nous attend (TOUS) au tournant bien plus tôt que la grande faucheuse. Cette mort-là fait des millions de victimes chaque jour. Et cette mort-là est, en plus, savamment orchestrée par ceux qui nous gouvernent, et qui ont tout intérêt à avoir des morts-vivants comme sujets plutôt que des êtres qui luttent pour rester vivants.

Je pense que ne pas tomber dans cette mort de l'être demande une vigilence quasi permanente et sans cesse renouvelée, car les occasions d'en être victime sont nombreuses tout au long de la vie, et qu'on en n'est pas toujours conscient. Heureusement, cette mort de l'âme est en fait réversible, on peut glisser dedans une fois et en ressortir...

Rester vivant dans ce contexte est une lutte exigeante, parfois inconfortable, souvent fatiguante. Mais tous ceux qui se battent, notamment dans les luttes sociales, nous dirons à quel point c'est dans les luttes, si épuisantes soient-elles, qu'on se sent le plus vivant, pas seulement symboliquement, mais même physiquement.

Et je connais pas mal de gens, de femmes en l'occurrence, qui, prises dans une grève de plusieurs semaines, ont cessé d'acheter de la crème anti-rides, ont cessé de lire des magazines de merde qui leur promettaient de perdre trois kilos en une semaine (dont 800 grammes de cerveau manifestement), ont cessé de se soucier des traces du temps, de la vieillesse et de la mort promise, parce qu'elles avaient cessé de subir et que le temps lui-même avait cessé d'être cet inexorable tapis roulant vers l'abattoir.

En arrêtant la machine infernale de l'oppression et du renoncement, ces gens avaient l'impression d'avoir arrêté le temps. Ils se savaient mortels mais s'en foutaient, ils se savaient vieillir mais s'en foutaient, parce la seconde qu'ils étaient en train de vivre, la minute qui suivait, la journée en cours, étaient passionnantes et riches et qu'enfin, ils se sentaient heureux, libres, en harmonie avec d'autres et avec eux-mêmes... vivants quoi.

Plein de bises,

Huck flower
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MessageSujet: Re: La mort.   La mort. EmptyMer 4 Avr - 15:06

je suis d'accord avec ce que tu dis de la vieillesse , chemin vers la mort, chemin que l'on ne peut modifier, que l'on ne peut éviter, ce qui est logique dans la vie!!

C'est certain que la société fait de la vieillesse un gros produit de consommation...touchant avant surtout les femmes, les hommes s'y mettant aussi depuis quelques décennies...
on vit dans une société qui se base prinicpalement (pour ne pas dire uniquement) sur le physique et donc qui croit en des produits qui pourraient les faire changer, les faire rester jeune, mince...à quoi cela sert? personne ne gagne face à la mort, cela est certain!
personnellement, je préfère respecter les cultures qui voient les rides (par exemple) comme un signe de beauté, un signe du temps qui rend les gens respactables encore plus qu'ils ne le sont.

je pense que l'age (malgrès le poids de nos artères) n'est qu'un nombre que la société impose, elle ne représente rien (enfin pour moi). Pourquoi s'attarder sur ce genre de chose? notre société s'arrete sur les dates, sur les heures, les années qui passent? mais pourquoi?
on s'est que ce n'est pas pour rassurer les gens c'est évident, vu que la quasi totalité de la population à peur de vieillir, peur de mourir, Peur...

j'ai du mal à comprendre ton principe de la mort, ou du renoncement à la vie lorsque tu dis:
Citation :
Pour moi, la mort, c'est ce moment de renoncement-là, où l'on accepte de ne pas être libre
Au fait, j'ai du mal à comprendre car la mort n'est pas un choix, c'est une finitude, ou un renouveau (selon les points de vue), enfin c'est ce que moi, je pense.
il est clair qu'il faut profiter de la vie avant que la mort ne nous rattrape. en pensant ainsi, chaque jour, chaque moment devient précieux, qu'ils soient agréable ou pas, on peut toujours lui trouver une signification, une place.

par contre, j'avoue avoir sourit lorsque j'ai lu cela:
Citation :
Les gens développent des stratégies diverses à partir de là : certains, pour compenser la mort de leur liberté, donnent la vie, font un enfant : ça donne du sens à la vie, ça occupe et ça permet aussi de prendre un congé parental (il y a aussi, et heureusement, des gens qui font des enfants pour d'autres raisons!!! Il est à noter que ça donne en général des enfants plus heureux que ceux qui sont nés pour donner du sens à la vie de leur parents...).
perso, je n'ai pas d'enfants donc je ne me permettrais pas de juger la raison de pourquoi des enfants, mais j'avoue que ton argumentation sur le sujet est sympa Wink

enfin, je reste sur l'idée qu'il faut profiter des gens que l'on aime pendant qu'ils sont présents et vivre, vivre comme on l'entend, c'est vraiment la seule facon de se sentir vivant !! alien
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